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Cinéma

Top ciné : les 10 meilleurs films de 2022

par Flegmatic 28 décembre 2022
2,4K

Suite et fin de notre bilan cinématographique de l'année avec rien de moins que les dix meilleurs films de 2022. Un top qui va chercher aussi bien du côté des blockbusters que des petites productions indépendantes, et n'hésite pas à s'aventurer aux quatre coins de la planète. Des États-Unis au Japon en passant par la France, l'Espagne ou encore l'Iran : prêts à voyager vers ce que la planète cinéma nous offre de meilleur ?

Étrange année cinéma me concernant que 2022. Une année diesel, qui a mis plusieurs mois avant de dévoiler son plein potentiel. Alors que les grosses productions hollywoodiennes – certaines attendues depuis des années – décevaient les unes après les autres, j'ai dû ronger mon frein quasiment jusqu'à l'été avant de recevoir mes premières claques. Et puis, ce fut le déluge : une avalanche de sorties que rien ne semblait pouvoir arrêter, alors que j'étais moi-même pris dans un tourbillon personnel et professionnel qui m'empêchait de surfer sur la vague comme je le voulais.

Alors que je faisais mon mieux pour juguler le flot et rattraper ce qui pouvait encore l'être, bon nombre de pépites indépendantes aux durées de vie limitées en salles m'ont ainsi échappé (EO, Pacifiction, Armageddon Time, Close, X, Godland et les autres : je pense à vous). Temporairement, je l'espère. Au moment de taper ces lignes, il s'agit donc d'une "petite" année me concernant, avec, sorties cinéma et sur plateformes confondues, 70 films estampillés 2022 vus, notés et archivés, dont le pire, avec un podium particulièrement solide dans la nullité. Un dixième classement en dix ans, personnel et donc forcément non exhaustif, dont j'espère que vous apprécierez une nouvelle fois la diversité et l'éclectisme. Dans le cas contraire, il n'est jamais trop tard pour s'ouvrir à de nouveaux horizons !

10/ La Nuit du 12, de Dominik Moll

Il faut beaucoup de talent et d'audace pour tenir un spectateur en haleine pendant près de deux heures, le long d'une enquête policière dont on sait d'avance qu'elle n'aboutira pas. Malgré cela, cette quête obsessive nous contamine. Comme le suggère la mise en scène, brillante de sobriété, on finit, nous aussi, piégé dans cette triste vallée qui n'a pas grand-chose à offrir, à tourner en rond en ressassant le passé. Moll a beau chausser parfois ses gros sabots pour amener ses thèmes, on ne peut qu'être d'accord avec ses conclusions : peu importe au fond qui a tué Clara la nuit du 12, puisqu'on est tous un peu coupables.

À voir également : C'est sans doute l'euphémisme de l'année, mais Bruno Reidal, confession d'un meurtrier n'est pas à mettre entre toutes les mains. En bonne partie à cause de son approche naturaliste froide et noire, qui nous place dans la tête de ce tueur en devenir tremblotant et gauche, jamais en phase ni avec le cadre, ni son entourage. Une étude de cas unique et dérangeante.

9/ RRR, de S.S. Rajamouli

Instant confession : je n'avais jamais vu le moindre film indien avant cette année – non Jean-Germain, Slumdog Millionaire, ça ne compte pas. Et avec ce Rise Roar Revolt, je crois que j'ai tapé dans le haut du panier, non pas de Bollywood, mais de Tollywood, le cinéma en langue télougou, porté par son réalisateur élevé au rang de star, S. S. Rajamouli. Bien sûr, l'œil occidental peut choisir de s'arrêter sur des effets numériques d'une autre décennie ou un jeu d'acteur constamment sur le fil de l'exagération pour nos standards. Ce serait passer à côté de séquences folles, aussi réjouissantes qu'ouvertement over the top, dont une scène de danse aussi énervée qu'un Mad Max : Fury Road. Le découpage dans l'action est d'une précision qui met à terre l'immense majorité des blockbusters américains. Chaque idée plus géniale que la précédente nous fait ressentir la toute-puissance de ces (super) héros de la résistance à l'oppresseur anglais, transformés en véritables divinités. Alors oui, c'est naïf et premier degré, mais ça fait un bien fou.

À voir également : La Légende de Baahubali – 1re et 2e partie, forcément, les deux précédentes fresques epico-historiques de Rajamouli, toutes deux disponibles sur Netflix.

8/ L'Innocent, de Louis Garrel

D'un blockbuster d'action indien à Louis Garrel, il n'y a parfois qu'un pas, mais attention tout de même à bien se mouiller la nuque entre les deux. Croyez-moi, je fus aussi surpris que vous de tomber sous le charme de cette nouvelle réalisation d'un énième "fils de" du cinéma français, que je suis loin de porter dans mon cœur. Mais ici, Garrel frappe fort et juste. Car au-delà de quelques effets de style, son Innocent repose en grande partie sur son écriture… et quelle écriture ! D'Anouk Grinberg à Roschdy Zem en passant par lui-même et surtout une Noémie Merlant qui rayonne un peu plus à chaque nouvelle apparition, tout le monde est d'une justesse bluffante grâce à des dialogues impeccables qui font passer par tout le spectre des émotions. La meilleure comédie de l'année… sans être tout à fait une comédie.

À voir également : un casting de maboules, une équipe de sentais utilisant les "pouvoirs" du tabac, chapeauté par un rat à la libido dégoulinante, un chapelet d'histoires sans queue ni tête dont une racontée par un barracuda en pleine cuisson : bonjour, vous êtes bien dans Fumer fait tousser de Quentin Dupieux, ne quittez pas.

7/ Nope, de Jordan Peele

Don't Look Up

De loin le film le plus ambitieux, le plus abouti et le mieux réalisé de Jordan Peele. On sent le plaisir de gosse de mêler science-fiction et western, pour terminer avec un authentique film de monstre au design éthéré par ailleurs jamais vu. Bien sûr, comme toujours chez lui, le film n'est pas exempt de défauts de taille, à commencer par les digressions autour du personnage de Steven Yeun, dont on peine toujours à comprendre la place dans le récit. Mais du cheval de Muybridge au streaming live sur smartphone en passant par la pellicule, il en profite pour questionner notre rapport à l'image et aux images. Ce qui tombe plutôt bien puisqu'il nous en a imprimés quelques-unes sur la rétine. Et puis même la ref' à la moto de Kaneda dans Akira a réussi à nous lâcher un sourire.

À voir également : Restons dans la petite baffe visuelle avec Pinocchio par Guillermo del Toro. Sans surprise, tous les codes et toutes les thématiques chers à son auteur sont là, magnifiés par une animation en stop motion qui souligne le propos. Pas forcément le joli conte de Noël à montrer à votre neveu/nièce, tant la noirceur enrobe le tout, mais rassurez-vous : à la fin, c'est l'innocence qui prévaut.

6/ Top Gun : Maverick, de Joseph Kosinski

Top Ciné 2022 - Top Gun Maverick

He took my breath away

Parfois, quelques mots valent moins qu'un long discours. Surtout quand le discours en question est signé Menraw. Top Gun : Maverick est exactement la suite qu'il fallait écrivait-il en juin dernier, et il avait raison. Trente ans après, ce deuxième opus fait tout mieux que le premier volet. L'écriture d'ensemble s'échappe du seul cadre du camp d'entraînement militaire à tendance homo-érotique pour parler du rapport Homme/machine et de la place des femmes dans l'armée. La réalisation est à des Machs au-dessus, tant en termes de lisibilité de l'action qu'au niveau de l'énergie déployée – on EST dans le cockpit ! – et surtout, c'est le parfait écrin pour le personnage ultime de Tom Cruise, encore et toujours au summum du charisme à soixante balais. Un plaisir simple, immédiat, qui redonne un peu de confiance dans les blockbusters hollywoodiens.

À voir également : Vous aimez que ça parte dans tous les sens, vous faire balloter au gré des images et des sons, avec un personnage central qui irradie le sex appeal : Elvis est ce qu'il vous faut. Et ne soyez pas découragés comme j'ai pu l'être par ce biopic de 2h40 signé Baz Luhrmann : l'association entre le King et le réalisateur de Moulin Rouge fonctionne du tonnerre !

5/ Contes du hasard et autres fantaisies, de Ryusuke Hamaguchi

C'est le moment d'ouvrir le segment cinéma indépendant étranger de ce top. On démarre avec le deuxième film en deux ans de Ryusuke Hamaguchi, qui avait ébloui la Croisette avec Drive my Car – et moi aussi puisqu'il avait terminé en dixième place du Top 2021. Étrangement, après une telle hype de festival, ces Contes du hasard et autres fantaisies ont fait moins de remous, et pourtant. Si vous ne jurez que par les mouvements complexes de caméra, les trouvailles visuelles et les effets pyrotechniques, passez votre chemin. Mais si la curiosité vous titille, vous aurez le droit d'admirer une mise en scène d'une précision d'orfèvre et d'entendre des dialogues d'une justesse désarmante. Comme à son habitude, le cinéaste japonais ne cherche rien d'autre qu'à extraire la beauté et/ou la tragédie de situations du quotidien, plus précisément ici, ces rencontres fortuites venant bouleverser le cours normal des choses. D'où deux questions : ne tiendrait-on pas le meilleur film à sketches de l'histoire ? Ryusuke Hamaguchi est-il le meilleur réalisateur/scénariste du moment ?

À voir également : Dans Enquête sur un scandale d'État non plus, on ne voit pas grand-chose d'autre que des gens qui parlent, mais là encore, la maîtrise de la réalisation est totale et chaque ligne de dialogue nous parait si crédible qu'on se croirait plongé dans un documentaire. C'est un film touffu, verbeux, qui plonge la tête la première dans son sujet sans prendre le spectateur par la main. On est parfois perdu, mais on peut toujours se raccrocher à des acteurs au top (Roschdy Zem, encore lui) et une tension omniprésente. Un sacré tour de force.

4/ As bestas, de Rodrigo Sorogoyen

Top Ciné 2022 - As Bestas

On achève bien les chevaux

On pensait Rodrigo Sorogoyen condamné à se surpasser à chaque nouveau projet en termes de virtuosité, comme il l'a prouvé au cinéma avec notamment El Reino et à la télévision avec Antidisturbios. À la place, le Madrilène troque l'atmosphère surchauffée de la ville pour la rugosité de la campagne galicienne, et adapte sa mise en scène et sa photographie en fonction. Tout est âpre, rude et un peu crasseux dans ce As Bestas, à commencer par les rapports humains entre ces paysans de toujours condamnés au plancher des vaches (Luis Zahera est parfait) et ces rêveurs venus d'ailleurs, indésirables et un brin condescendants, dont un Denis Ménochet plus animal que jamais. Une querelle de voisinage en forme d'escalade de la tension, qui distille ses clés de compréhension par petites touches, et se permet même de tout remettre à plat à mi-chemin. Et si Sorogoyen était le meilleur réalisateur/scénariste du moment ?

À voir également : Un nouveau Park Chan-wook (Old Boy, Mademoiselle, JSA…), ça ne se refuse jamais, et Decision to Leave ne fait pas exception à la règle, tant le Sud-coréen s'amuse à jouer avec les différentes couches de son récit et les procédés visuels pour nous le raconter. Au point de le rendre parfois un peu difficile à suivre. Ou était-ce le jetlag ?

3/ Leila et ses frères, de Saeed Roustaee

Ce parrain-là ne trafique pas de drogues, d'armes ou d'être humains. Il est vieillissant oui, mais dévoré de l'intérieur par un énorme complexe d'infériorité, se ment à lui-même et à sa famille et court après une reconnaissance qu'il n'aura jamais. Sa descendance ne vaut guère mieux, avec trois fils tour à tour lâches, peureux, escrocs à la petite semaine et criblé de dettes, soutenus tant bien mal par une fille forte tête, insoumise et qui aime un peu trop avoir raison pour son propre bien. Tous ces pions mettent un peu de temps à se mettre en place, on se demande parfois vers où se dirige ce bal des éclopés, qui voit son salut dans une friperie à construire dans les toilettes d'un centre commercial impersonnel. Et les péripéties commencent à s'enchaîner, mettant à jour les complots, les duperies et les mensonges par omission de chacun. Personne ne veut coopérer et chaque membre de la famille tirant la couverture vers lui précipite un peu plus les autres vers le ravin. Une pure tragédie qui met dos à dos le poids des traditions contre le désir d'émancipation, le prix de l'honneur face au coût de la misère, et finit par révéler l'ennemi intime qui sommeille là où on ne l'attendait pas forcément. Un an après La Loi de Téhéran, et si Saeed Roustaee était le meilleur réalisateur/scénariste du moment ?

À voir également : L'autre film manipulateur de l'année se trouve sur Netflix. On prend un plaisir de spectateur simple mais trop rare en se faisant autant balader par Les Lignes courbes de Dieu. Sa thématique et son cadre (un hôpital psychiatrique) ont déjà été surexploités, mais au jeu des fausses vérités et des vrais mensonges, à la fin, c'est le cinéma qui l'emporte. Probablement le meilleur film de plateforme de 2022.

2/ Avatar : la voie de l'eau, de James Cameron

Top Ciné 2022 - Avatar la voie de l'eau

La Petite Bleue

Plus qu'une synthèse du cinéma de James Cameron, convoquant aussi bien le premier Avatar bien sûr, mais aussi Titanic, Terminator 2 et Abyss, La voie de l'eau en est une sublimation. Sublimation technique bien sûr, le High Frame Rate (à savoir un affichage à 48 images par secondes au lieu de 24, offrant une incomparable netteté et fluidité de mouvement lors des scènes d'action) secondant cette fois une 3D qui en met toujours autant plein les yeux. Mais sublimation scénaristique surtout, Cameron n'ayant pas son pareil pour raconter le plus simplement du monde des histoires à la beauté universelle, empreinte d'écologie et de spiritualisme. En recentrant son propos sur la famille Sully, pourchassée par un Quaritch revenu d'entre les morts, le film se transforme presque en western maritime, où l'entraide et le don de soi s'opposent à une vengeance sans limite. Chaque personnage mériterait son paragraphe à part entière, tant la qualité d'écriture et le soin apporté aux détails frôlent la perfection. On en oublierait presque ces concepts complexes de science-fiction prenant corps si vite qu'on les intègre sans même en prendre conscience, et ce fantastique qui s'immisce l'air de rien chez Cameron, posant les bases de suites que l'on imagine déjà décupler le champ des possibles. Et puis cette dernière heure bourrée de folles idées d'action… Rien qu'à écrire ces mots, et même après l'avoir vu deux fois en l'espace d'une semaine, j'ai déjà envie d'y retourner.

À voir également : Le Avatar de 2009. Puis de nouveau celui-ci. Puis re-celui de 2009. Puis encore le deuxième. Puis…

1/ Everything Everywhere All at Once, de Daniel Scheinert et Daniel Kwan

Top Ciné 2022 - Everything Everywhere All at Once

Michelle et les abeilles

Aucun autre film cette année ne m'a fait traversé un tel flot d'émotions. Comme son nom l'indique, il y a tout dans Everything Everywhere All at Once, et bien plus encore. Grâce à une réappropriation absurde du concept du multivers, le film se permet de nous embarquer dans une série de folies visuelles, exploitant avec un grand sérieux des idées d'une débilité réjouissante. Tout ça, en laissant une énorme marge d'expression à ses personnages, membre d'une famille dysfonctionnelle qui ne se parle pas, mais va de nouveau trouver le moyen de se reconnecter. Évidemment, il faut goûter à l'humour bien en-dessous de la ceinture des Daniels, être capable d'absorber nombre de leurs références et d'accepter les règles d'un monde qui n'a objectivement aucun sens. Mais pour moi c'est indéniable, comme je le titrais au moment de sa sortie en France, EEAAO fait tout mieux que tout le monde. C'est un délire de potes certes, mais dénué de tout cynisme, d'une créativité et d'une inventivité qui manquent au paysage cinématographique actuel, et qui met à l'amende nombre de productions dotées de budget cinq à dix fois supérieurs. On en veut. Partout. Tout le temps.

À voir également : Inu-Oh, parce que le nouveau film de Masaaki Yuasa se rapproche de son chef d'œuvre Mind Game, en poussant les potards très loin. Et puis un projet aussi barré et anachronique qu'un opéra rock psyché fantastique dans le Japon féodal, on y va les yeux fermés.

Mention spéciale : Pacific Rim 4DX, de Guillermo del Toro

Top Ciné 2022 - Pacific Rim

On ne dit pas "Le robot géant saute dans l'eau" mais "Le Jaeger bombe"

Pourtant, devant Avatar 2, devant Everything Everywhere All at Once, ma meilleure séance cette année, probablement même la meilleure séance de ma vie, n'est autre que Pacific Rim… mais en 4DX, au point d'en faire mon Pop d'Or ! Une double surprise, tant le premier visionnage du film, un après-midi dans mon canapé, m'avait relativement laissé de marbre. Et puis pour avoir vécu pendant un peu plus de vingt ans à une heure et demi du Futuroscope, la 4DX non plus ne m'inspirait pas plus que ça. Malgré ces a priori, quelle expérience ce fut ! Une immersion totale, de la première à la dernière seconde, tant le film et la technologie étaient faits pour se rencontrer. On oublie toute intellectualisation, toute volonté d'analyser le fonds ou la forme, pour en revenir à la base : le ressenti pure et primaire, des pieds à la tête en passant par le cœur, qui n'a jamais cessé de palpiter à fond. Je ne sais pas si je retenterai le coup de la 4DX avec un autre film, de peur d'être déçu, mais une chose est sûre, et l'expression n'est ici pas galvaudée : cette soirée-là, je ne risque pas de l'oublier !

Voilà, c'est tout pour 2022, et c'est déjà pas mal. J'espère que cette année cinématographique vous a apporté au moins autant de satisfaction et d'émotions. Qu'ils se trouvent dans ce top ou dans le flop, continuez de défendre les films que vous aimez, laissez-vous convaincre de bouleverser vos habitudes et restez ouverts à toutes les éventualités. On ne sait jamais tout à fait ce que l'on va vivre dans une salle de ciné. Alors ces douze derniers mois comme en 2023 et depuis ses premiers pas…

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Top/flop cinéma
Flegmatic

Prend son rhum ambré au shaker, pas à la cuillère. Possède une Wii U. A beaucoup trop vu Armageddon.

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